Listing 1 - 10 of 79 << page
of 8
>>
Sort by

Book
Le gà©nà©ral-major Habyarimana : 1973-1988 : quinze ans de tyrannie et de tartuferie au Rwanda
Authors: ---
ISBN: 3927210005 Year: 1988 Publisher: Frankfurt am Main Izuba

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

The Rwanda crisis : history of a genocide.
Author:
ISBN: 1850653720 Year: 1998 Publisher: London Hurst

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
A giant people : the Watussi of Africa
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
Ce que Dieu a uni.... De bruidsschat = Kile Mungu aliunganisha = Icyo Imana yapfunditse
Authors: --- --- --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
Ruanda, tableaux d'une féodalité pastorale

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Ce film ethnographique reconstitue les relations sociales existantes entre paysans Hutus et éleveurs Tutsis au royaume du Ruanda (Rwanda) vers 1900, à l'époque où la colonisation n'avait pas encore fait sentir ses effets. Misago, un paysan pauvre perd sa vache et se rend à la cour du grand seigneur dont il est le client...


Film
Batutsiland 1947 = En pays Batutsi 1947
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
Enseignement au Ruanda-Urundi
Authors: --- --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Ce documentaire, réalisé par les cinéastes du Service de l'Information du Ruanda-Urundi (Cinérudi), est probablement la première partie d'une série de films consacrés à l'enseignement au Ruanda-Urundi. Il se penche sur le grand Centre Pédagogique d'Usumbura.Usumbura compte parmi les villes les plus importantes du pays, elle est «le symbole du développement rapide» du Ruanda-Urundi. La ville est soignée, «moderne» et connaît une intense activité. Le gouvernement y a mis en place une politique tout particulièrement axée sur la jeunesse, afin de dispenser le savoir à ceux qui deviendront les adultes de demain. Ainsi, plus de 3 000 écoles d'enseignement général, pédagogique, post-primaire et des arts et métiers sont réparties dans tout le pays, comprenant un total de 250 000 élèves, chiffre qui permet, comme l'indique le commentaire, «d'entrevoir l'avenir avec le plus grand enthousiasme».Le Centre Pédagogique d'Usumbura représente un bon exemple de l'investissement du gouvernement dans ce domaine. Le collège du Saint-Esprit, dirigé par des ecclésiastiques, accueille 450 élèves, principalement originaires du Ruanda et du Burundi bien que toutes les autres ethnies y soient les bienvenues. Le film met aussi en avant la remarquable architecture moderne dont il est doté : de gigantesques bâtiments de formes, couleurs et matériaux différents, autant d'éléments «qui lient confort et esthétique», offrant ainsi un cadre d'apprentissage des plus favorables.Après l'enseignement catholique, l'enseignement laïc est représenté par l'Athénée royal qui accueille 500 élèves, dont 250 pensionnaires, garçons et filles. Les classes sont occupées par des élèves d'origines souvent très différentes: 49 % d'Africains, 28 % d'Européens et 13 % d'Asiatiques. Les lieux sont dotés d'une architecture simple et aérée.Le film insiste enfin sur la richesse en matériels divers mis à disposition des élèves, leur permettant de s'adonner aux sports et d'apprendre la chimie, la physique ou encore, les arts plastiques. Le documentaire, dans son ensemble, tend à démontrer l'atmosphère de «joie de vivre» et de paix qui est sensé unir la jeunesse des communautés présentes dans la cité


Film
Funérailles du Mwami du Ruanda, Mutara III

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Charles Rudahingwa Mutara III est subitement décédé le 25 juillet 1959 d'un accident cérébral. Cette mort inattendue, entraîna la rumeur d'un assassinat commandité par les Belges. Elle se répandit au sein de la population rwandaise, déjà touchée par le vent d'indépendance qui soufflait sur toute la colonie.Ce reportage sur les funérailles du Mwami du Rwanda est inachevé: exempt de son, il s'arrête avant la fin de la cérémonie. De plus, le réalisateur ne s'est visiblement intéressé qu'à la manifestation du point vue belge et non local. Ainsi le film commence par la descente d'avion de Jean-Paul Harroy, gouverneur général du Ruanda-Urundi, et d'autres hauts dignitaires belges. Après avoir passé les troupes en revue, ceux-ci arrivent devant l'église où se déroulera la célébration. Succèdent à la longue série de personnalités belges et rwandaises les célébrants ecclésiastiques. L'arrivée de la famille royale du Rwanda n'est que très brièvement filmée, mais toute empreinte de solennité. Le cercueil royal est couvert du drapeau belge, symbole fort d'un sentiment d'appartenance à la Belgique. La cérémonie à l'intérieur de l'église n'est pas filmée, supposant ici que le cinéaste n'en a pas eu l'autorisation. La caméra retrouve les personnalités à la sortie de l'office religieux, elles se dirigent alors vers le cimetière afin d'assister au discours du Gouverneur général de la province et à la mise en terre. La population locale n'est pas très nombreuse. Il est toutefois étonnant de constater que rien ne transparaît de l'émotion des Rwandais, dans le climat politique instable de l'époque, alors que certains témoignages attestent d'une grande tension au sein de la population qui croit en l'assassinat du Mwami et attend la nomination de son successeur. L'impression dominante qui se dégage du film est le sentiment d'une cérémonie rapidement achevée, voire expédiée, qui célèbre et reconnaît l'autorité royale, à qui ce film fait honneur


Film
Sons d'Afrique

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Le cinéaste s’attache dans ce film à présenter une série d’instruments de musique originaires d’Afrique centrale dans un double objectif : sauver quelques vestiges de cet art musical en en fixant d’authentiques aspects visuels et sonores, et attirer l’attention du grand public, en même temps que celle des artistes et des ethnologues sur l’importance de ses richesses et l’urgence de leur reproduction. Tel un document objectif, il est construit sur base d’une succession de séquences consacrées à un type d’instrument, à sn maniement, à sa musique propre et à la signification mythique qui s’en dégage. Chaque séquence est elle-même précédée d’un court commentaire développé sur une représentation de la statuaire africaine qui relève du même mythe. Les séquences sont, pour la plupart, très brèves : il ne s’agit donc pas d’un document d’ethnographie musicale (les ethnies concernées ne sont pas nommées) mais plutôt d’un échantillonnage sonore. Sont ainsi présentés les tambourinaires de l’Urundi, le likembe (petit piano « portatif ») ; le zeze (petit à cordes et à calebasse) ; la harpe et les chants qui l’accompagnent (chant individuel et triste, chant communautaire et festif) ; les trompes les xylophones-jumeaux (Modali et Moissi) ; le xylophone en demi-lune et les flûtes. Le film se termine par une séquence de danse et de chants avec tam-tams exécutés par les Kuba


Film
Reportage sur la culture du café au Ruanda-Urundi

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Ce documentaire, non monté et non sonorisé, retrace les étapes de la culture du café à partir de la plantation des graines, jusqu'à l'expédition des sacs de café.Le film commence par une vision panoramique du paysage du Ruanda-Urundi qui accueille les cultures en terrasses où l'on cultive le type Arabica. La plantation de café demande un entretien constant. Suivons la caméra vers une terrasse en particulier. Les semis sont plantés à intervalles réguliers, grâce à un module de bois et de cordes qui définissent les endroits de plantation. Pour protéger les nouvelles pousses du soleil, elles seront recouvertes de longues feuilles de palmiers. Une fois que la plante a atteint trente centimètres environ, elle est déplantée et replacée dans un autre terrain où elle poursuit sa croissance. À chacune de ces étapes, les feuilles les plus basses sont arrachées, de façon à créer un arbuste au tronc fin et dénudé et à la cime étoffée, protégé des insectes par aspersion chimique. L'arbuste devient un arbre de plus de deux mètres de haut qui produit de nombreux grains de café.Une fois ceux-ci récoltés et nettoyés par jets d'eau, les agriculteurs locaux vendent la graine brute (qui a conservé sa couleur beige et rougeâtre d'origine) au marché de la ville locale ou à une usine industrielle qui la torréfie. Afin de les différencier, les divers types de graines sont analysées et le café est goûté, permettant d'opérer une sélection qualitative des cafés torréfiés qui sont mis en sac, numérotés et acheminés vers la cale d'un bateau pour être exportés

Listing 1 - 10 of 79 << page
of 8
>>
Sort by